De quel droit me forces-tu à faire cela,
ces insanités innomables, inconvenables,
quand on est un père, on n'y pense pas,
toutes ces choses qui vont contre morale.
De quel droit poses-tu tes mains sur moi,
tous ces instant que tu m'as volés,
quand on est un père, on ne le fait pas,
pourquoi en avoir pris la liberté ?
De quel droit me parles-tu comme ça,
intérieurement et physiquement de vouloir me souiller
quand on est un père, on ne se permet pas,
moi ta fille, je ne saurais jamais te pardonner.
Tu as baffoué toute mon enfance,
toi un père qui pour moi n'est plus rien,
perdue désormais dans mes doutes, mes errances,
je ne désire plus être obligée de t'aimer demain.
L.A 29.04.07